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L’Aurore
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L’Aurore

En 1934, Alba, jeune catalane âgée de seize ans, quitte le giron familial et une mère acariâtre.
Elle entre au service de doña Lucia, riche bourgeoise qui réside dans un magnifique hôtel particulier situé au coeur de Barcelone.
Pendant les années suivantes, l’Espagne connaîtra des bouleversements politiques majeurs, prémices d’années sombres pour l’Europe et le monde.
Autant d’évènements qu’Alba, portée par des convictions profondes et la fougue de sa jeunesse, vivra intensément.
Ainsi commence l’aventure de sa vie...
Nicole Anglés, d’une écriture vivante et efficace, focalise l’histoire de ce roman sur l’implication des femmes combattantes durant la guerre d’Espagne.
Leur rôle déterminant dans la révolution sociale organisée par le mou-vement libertaire en riposte au coup d’État militaire à l’origine du conflit.
Et leur engagement aux côtés de l’armée républicaine pour éviter l’iné-luctable, la prise de pouvoir de la dictature franquiste en 1939.

Tout ça… Pour ça ?
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Tout ça… Pour ça ?

« Tout ça... Pour ça ? », Ces mémoires déroulent deux fils chronologiques relevant de deux univers opposés : d’un côté
le communisme, dans son processus de dimension mondiale, de l’autre, un individu, dont les actes et les pensées se veulent
partie prenante de ce processus. Dans sa globalité, le processus est un effondrement, celui progressif des États, réputés socialistes,
sous la conduite de l’URSS.
Roger Hillel en égrène les étapes, depuis son engagement idéaliste qui fonde ses certitudes de l’époque, jusqu’à la prise de
conscience d’une réalité cruelle, l’ensevelissement final. Alors la désillusion fissure les certitudes, la déception est grande, tant
d’engagement pour une cause falsifiée par ceux qui jadis exaltaient un idéal... toujours intact.

Le Roussillon et la Pré-Révolution
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Le Roussillon et la Pré-Révolution

Dans la seconde moitié du XVIIIeme siècle la France voit croître la sourde colère du peuple.
Si dans les salons parisiens la bonne société s’empare des idées des philosophes des lumières, la capitale du royaume de France n’est pas
seule à remettre en question une société ou règne l’aristocratie et ses privilèges.
Dans tout le royaume le peuple soumit aux famines, aux épidémies, aux guerres incessantes, aux impôts et taxes toujours plus iniques, ressasse son rejet du carcan des corporations, de la noblesse de cour et du haut clergé.
Georges Soler dans cette étude fouillée met en exergue la commune exaspération du peuple roussillonnais avec le reste des provinces du royaume.
Il montre aussi ces particularismes de la province du Roussillon considérée dans le royaume comme une « province étrangère » coincée
entre l’Espagne et le Languedoc. Il met en exergue nombre de spécificités héritées de son ancienne appartenance à la Catalogne qui donnent une couleur différente aux attentes de la population par rapport au reste de la France..
En 1780 il n’y a qu’à peine plus d’un siècle que la province du Roussillon est française.
Des hommes en particuliers marqueront cette période en pays catalan, Le Comte de Mailly, Raymond de Saint Sauveur ou Pierre Poeydevant.
Avec cette ouvrage d’histoire précis et documenté, George Soler propose une rencontre passionnante avec le peuple Roussillonnais.
Un peuple face à la marche de l’Histoire, la pré révolution qui depuis la rédaction des cahiers de doléance aboutira enfin à la convocation
des états généraux...

Le prix de la République – Une famille catalane face à l’Histoire
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Le prix de la République – Une famille catalane face à l’Histoire

Quand Pierre Rossignol décide de raconter l’histoire de sa
famille, certes il souhaite préserver la mémoire de ses parents, de
ses ancêtres catalans. Mais il désire aussi témoigner en citoyen
du monde du parcours d’anonymes face à l’histoire.
Fervent républicain, humaniste par conviction, son récit
débute à la fin du XVIeme siècle à Corsavy. Il se termine de
nos jours au camp de Rivesaltes.
Entre temps, combien de révolutions, de changement de
régimes, de guerres. On aurait envie de dire «Tout ça pour ça !»
Mais demeure la vie, la mémoire, les épreuves et les joies de
femmes et d’hommes confrontés au flot roulant de l’Histoire, à
la folie de l’homme, mais toujours en eux demeurent ce désir
de vivre, cette injonction de résister à l’adversité, cette impérieuse
nécessité de garder espoir en un monde plus juste.
Accompagnée d’une riche illustration, dont des documents
relatant la vie et l’oeuvre de Francesc Miro, son oncle, Pierre
Rossignol offre à lire l’épopée poignante et passionnante d’une
famille catalane face à la grande Histoire...

Argelès et la révolution, le temps des initiés ?
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Argelès et la révolution, le temps des initiés ?

Né en 1706 à Fontrabiouse, Marc SURJOUS, « berger de brebis », abandonna ses transhumances pour se fixer à Argelès où il se marie en 1735. A sa mort en 1759, son fils, Marc SURJUS, héritier universel, est âgé de 14 ans. Nous retrouvons Marc SURJUS en 1814 propriétaire de la quasi-totalité des bâtiments du château et du hameau de Taxo, du château de Pujols, de l’ermitage de Sainte Madeleine et d’une maison à l’ancienne abbaye de Valbonne. Au total, l’ensemble de ses propriétés, bâties et non bâties, s’étalait sur 180 hectares.

Né à Laroque en 1753, issu d’une branche de la « Noblesa Catalana » dont les origines remontent à Vinça en 1619, Julien BORDES est vicaire d’Argelès de 1784 à 1789, pendant 6 mois en 1790 et 5 mois en 1791. Ensuite curé constitutionnel de Laroque en 1792. Enfin défroqué et marié, il devient Agent National du District Révolutionnaire de Céret en 1793.

Une possible collusion entre Marc SURJUS, l’un des principaux bénéficiaires de la vente des biens nationaux, et Julien BORDES à la source de l’information interpelle Jean-Pierre Bisly.

Étalées sur plus de 12 ans, les recherches de l’auteur s’orientent sur la période 1794-1795 concernant la vente des biens des émigrés où l’on a pu constater cette collusion, mais aussi le rôle non négligeable d’autres comparses.

François de Fossa L’Exil d’un virtuose
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François de Fossa L’Exil d’un virtuose

Quel destin hors du commun !
François de Fossa, jeune guitariste, fuit la Catalogne, la France et la Révolution, pour s’exiler en Espagne.
Ce jeune homme exalté vit et assouvit ses passions tel un aventurier.
Il fait sienne cette réplique de « L’École des Maris » de Molière :
« ...Les verrous et les grilles / ne font pas la vertu des femmes ni des filles. »
Il s’enflamme pour la beauté et le charme des Madrilènes et des Andalouses. Son appétit élégant pour la gent féminine ne sera supplanté que par cette soif d’exprimer sa virtuosité tant comme interprète que comme compositeur.
Seule la musique sera la maîtresse à laquelle cet éternel séducteur restera fidèle.
Homme de paradoxe, François de Fossa portera l’uniforme cinquante ans durant.
Une vie romanesque qui l’entraînera jusqu’au Mexique.
Une vie romanesque qui traversera la Révolution et l’Europe de Napoléon avec opportunisme.
Nicole Yrle offre son talent, son style précis et subtil à la vie extravagante  de ce jeune homme autodidacte et romantique avant l’heure.
Portrait de couverture : Encre originale de Thierry Delory
d’après un portrait peint existant
Photo de l’instrument en couverture : Loïc Robinot
Guitare romantique appartenant à Francisco Ortiz