Native de Port-Vendres, fille de Républicains espagnols, professeur
d’anglais et écrivain, Thérèse Cau après «l’Album de l’Exil»,
«Saints de Glace au Racou», «Mala Sort», «Un port de déesse»,
«Ils voulaient fusiller la liberté», et «Pinzutu» retourne dans son
village natal où elle a grandi.
En 1944, aux derniers jours de la Seconde Guerre mondiale,
la Port-Vendraise Amédine est veuve depuis quatre ans.
Le mari de la Catalane Teresa s’est exilé en France depuis février
39 lors de la Retirada.
L’époux de la Castillane Maria, condamné à mort par les
franquistes, a réussi à s’évader le jour de son exécution.
Ces trois femmes, de nationalités et d’âges différents, brutalement
seules doivent élever leurs enfants. Leur seul espoir ?
La vigne. Elles décident d’assumer le dur travail de la terre et
l’obstination accompagnant le courage, là, entre les pampres et les
ceps, elles affirment leur force morale.
C’est aussi pour elles, l’occasion de s’émanciper.
Thérèse Cau peint ici une fresque sociale émouvante portée par
des femmes au caractère bien trempé mais toujours animées d’une
grande envie de vivre...
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