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50 coups de cœur en Pyrénées Orientales
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50 coups de cœur en Pyrénées Orientales

Depuis la Méditerranée jusqu’au sommet du mont Canigou se cachent des sites à la beauté insoupçonnée.
Manon Mach, après de nombreux voyages loin de son pays natal, vous invite à la suivre au cœur des terroirs maritimes et montagnards qui font le charme des Pyrénées-Orientales.
Au détour d’une randonnée ou d’une simple balade, la visite de ces 50 paysages ou monuments incontournables vous surprendra.
La rencontre des femmes et des hommes qui donnent vie à cette terre vous incitera à apprécier l’identité particulière du beau pays catalan.
Alors n’attendez plus, suivez les pas de Manon qui vous guidera loin des sentiers battus pour des découvertes inoubliables.

Les vignes de l’espoir
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Les vignes de l’espoir

Native de Port-Vendres, fille de Républicains espagnols, professeur
d’anglais et écrivain, Thérèse Cau après «l’Album de l’Exil»,
«Saints de Glace au Racou», «Mala Sort», «Un port de déesse»,
«Ils voulaient fusiller la liberté», et «Pinzutu» retourne dans son
village natal où elle a grandi.
En 1944, aux derniers jours de la Seconde Guerre mondiale,
la Port-Vendraise Amédine est veuve depuis quatre ans.
Le mari de la Catalane Teresa s’est exilé en France depuis février
39 lors de la Retirada.
L’époux de la Castillane Maria, condamné à mort par les
franquistes, a réussi à s’évader le jour de son exécution.
Ces trois femmes, de nationalités et d’âges différents, brutalement
seules doivent élever leurs enfants. Leur seul espoir ?
La vigne. Elles décident d’assumer le dur travail de la terre et
l’obstination accompagnant le courage, là, entre les pampres et les
ceps, elles affirment leur force morale.
C’est aussi pour elles, l’occasion de s’émanciper.
Thérèse Cau peint ici une fresque sociale émouvante portée par
des femmes au caractère bien trempé mais toujours animées d’une
grande envie de vivre...

cap bear imprimeur livres 66
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«Pyréné» La cité et l’île retrouvées, Secrets d’Etat

Selon les sources antiques, « Pyréné », le port et l’île au temple de Vénus furent la frontière de Rome. Un site géostratégique si important, qu’il donna son nom à toute la chaîne des Pyrénées. Portus Véneris connut son apogée pendant le premier millénaire avant notre ère. La découverte par l’auteur d’un phénomène géologique insoupçonné, qui affecta la topographie du port au point de le rendre inutilisable, est la clé qui explique les mille ans de son abandon depuis la fin de l’occupation romaine. En 1659, le Traité des Pyrénées en fit le mythe de Pyrène, bien utile pour les desseins inavouables de Mazarin et de Monseigneur de Marca qui spolièrent la Catalogne et l’Espagne. L’île et le temple d’Aphrodision furent effacés sur l’autel de la raison d’État.

En 2018, le secret d’État perdure, puisque des mesures géophysiques confidentielles ont détecté sous les sédiments, la présence de l’île.

En 2019, suite à des travaux sous-marins, les débris de l’île ont été accumulés sur le terminal du port de commerce.

Les vestiges du temple, tant recherché, y reposent peut-être ? Ce passé réapparu ouvrira-t-il une nouvelle page de la riche histoire de Port-Vendres ?

 

Un port de Déesse
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Un port de Déesse

Les gendarmes de Port-Vendres sont sur les dents. Ce jeudi 17 octobre 1963 au petit matin, ils examinent le corps d’un pêcheur qui habitait le quartier cosmopolite de la Citre. Une noyade mystérieuse à une époque où le port de la Côte Vermeille connaît de grands bouleversements. Le commerce, avec l’Algérie devenue indépendante, est réduit au strict minimum. Les pieds-noirs, nombreux à s’installer dans la petite cité portuaire, transforment radicalement les méthodes de pêche artisanales. Ils font naître force rivalités et animosités. Une plongée insolite dans l’histoire de Port-Vendres.
.../- Eh ben ! Ils ont dû en trouver des trucs pas catholiques, parce que, la nuit, il y en avait des allées et venues à bord, dit un autre pêcheur, en clignant de l’œil.
Je ne vois pas du tout à quoi ils peuvent faire allusion.
- C’est sûr. On sentait bien que ça finirait mal un jour ou l’autre, hein ? Vignaud, il était de plus en plus violent avec tout le monde, intervient une ravaudeuse. /... Moi, je vais pas vous mentir ; je suis content d’en être débarrassé !